[DU 1ER AU 4 AOUT 2014 - AMAZONIE]

Indiana Jones n’a qu’à bien se tenir, on arrive ! Prêts à débusquer le perroquet de la cime des arbres et à sauter de liane en liane à la poursuite d’on-ne-sait-trop-quoi. Bon, ba ça c’était avant ! Parce que l’Amazonie c’est surtout l’Amazone et tous les fleuves qui le font grossir… Et c’est aussi et surtout ces putains de moustiques qui sont plus malins que nos deux cerveaux, la bombe et la crème anti-moustique réunis, et pourtant ça fait du monde…
Du coup c’est en leur compagnie ainsi qu’un couple de suédois tranquilles, un coupe d’autrichiens en fin de tour de monde et un écossais tout blanc au début et tout rouge à la fin que l’on a vogué sur les flots a la recherche de dauphins d’Amazonie (tout rose et tout moche) (et aussi tout planqué), de singes, d’iguanes, de cobras (que le guide a attrapé aussi facilement que nous un pot de nutella dans le placard), de tarentules, de paresseux (qu’on a même pu porter), de caïmans (qu’on a été pécher en pleine nuit)(et accrochez-vous, le nôtre faisait au moins 30cm…) et de piranhas (qui faisaient légèrement moins les malins une fois grillés…). L’occasion aussi d’apprendre quelques techniques de survie en plein jungle (certificat de Mowglie non encore obtenu), de gouter aux spécialités locales (jus de fruit-qu’on-ne-savait-même-pas-qu’ils-existaient et petit-ver-blanc-bien-dégueu-au-gout-de-coco) et de s’incruster un peu dans la vie locale en matant le match de foot local et en dégustant une bière fraiche.
Bref, l’Amazonie c’est comme la montagne, ça vous gagne… Mais malheureusement, à la centième piqure de moustique, c’est game over… et retour à Manaus et son joli théâtre… avant un réveil matinal pour Belém.